× Arrivée au pensionnat il y a trois ans. × Ne parle jamais de la mort de William. × A passer une mauvaise phase. × S'est créer une réputation de brute. × Son pouvoir terrifie tout le monde.
NOCIVE VOLCANIQUE
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Sujet: Re: Remake présentation Dim 28 Déc - 17:27
Texte texte texte
Bérengère Apolline Mills, une chieuse parmis tant d'autre. Elle a 17 ans et demi, est en classe E, maîtrise son don nommé "Musculature sur-développée" qu'elle a renommé "Force herculéenne" juste pour le roxx, mais refuse toute gradation supérieure. Bérengère, il n'y a que ses proches qui l'appelle comme ça, avec évidemment son diminutif "Ber", qui est tout aussi classe qu'elle. Pour les autres, elle reste Apolline Mills, la cousine de Gautier Everfield. Gautier, c'est la seule personne pour qui elle tuerait. Il est sa seule famille, la seule personne qui a toujours fait attention à elle. A deux, ils sont comme Tweedledee et Tweedledum, qui sont d'ailleurs leurs surnoms adorés.
A V A N T P R I S M V E R
Bérengère est arrivé au Pensionnat il y a une an et demi. Elle vivait à New York avec sa mère, une ancienne créatrice de mode. Elle n'a jamais eu de très bonne relation avec cette dernière, qui faisait passer l'avenir de sa fille avant toute chose, décidant ainsi de tout ce qu'elle allait entreprendre pour le futur. Son meilleur ami de toujours s'appelait William. Il fut le premier à savoir que Bérengère n'était pas normale, et était présent lorsqu'elle découvrit son pouvoir. Bérengère refusait catégoriquement d'entrer à Prismver, malgré l'insistance de William.
A P R E S P R I S M V E R
Lorsque ce dernier mourut dans un accident de voiture, elle tomba dans une profonde dépression, et quitta New York pour se rendre au pensionnat. Là elle retrouva Gautier, son cousin, qui l'empêcha de toucher le fond. Elle loupa l'examen d'entré, en oubliant de s'y présenter, et se retrouva immédiatement en E. En collocation par-ci, par-là, elle finit par être en collocation avec ce dernier dans la cabane numéro 12. Et c'est ainsi que commença sa vie dans ce Poudlard ridicule, piégée dans un roman fantastique, entourée de créatures aussi bizarres qu'elle.
sdqkljflj2
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Sujet: Re: Remake présentation Mar 30 Déc - 22:03
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Sujet: Re: Remake présentation Mer 31 Déc - 12:48
UNBREAKABLE
Barre toi ! Casse toi, j't'ai dit, qu'est-ce qu'il t'faut d'plus ? T'en as pas vu assez ? Et arrête de m'regarder comme ça, t'as rien écouté, t'as rien compris, comment j'dois te l'dire pour qu'ça imprime ? Écoute pov' conne, j'suis pas quelqu'un d'bien, j'suis pas une belle personne, j'suis une sale bête, une bouteille de gaz dans une cheminée, et j'vais finir par t'sauter au visage si tu t'approches trop, comme ça t'es avec les autres !
Tes yeux se baladent de gauche à droite pour dévisager chaque personne présente à l'ouverture des portes. Tu jettes un regard inquiet à Gautier, qui te souris, et lève son pouce en ta direction. Lui, porte déjà l'uniforme. A croire que ton cousin savait que vous n'étiez pas normaux, depuis le début. Lui, n'a pas hésité une seule seconde. Toi, t'as mis deux mois avant de te décider. Tu arques un sourcil en guise de réponse, loin de te réjouir face à cette situation. Et il rit en voyant la tête déconfite que tu tires. C'est tout juste s'il ne te pointe pas du doigt. Quel con. Il trouve rien de mieux que de se foutre de ta gueule, alors que cette rentrée te répugne. T'angoisse. Ouais. C'est exactement ce que tu ressens. En vérité, ça te rend dingue d'avoir à changer de vie. Enfin, c'est surtout la rapidité de ce changement qui te fais tourner la tête. Si t'avais eu la possibilité de choisir, tu ne serais pas venue sur cette foutue île, pour te retrouvée paumée au beau milieu d'un groupe d'immigrés. Car ouais, ils parlaient tous une langue différente, et ça t'énerve. "Arrête de sourire connard, je pige pas un mot de ce que tu me dis". Le pauvre, te souhaitait seulement la bienvenue.
Mais tu sais pas d' quoi tu parles, j'ai essayé, ça sert à rien, on change pas, on change jamais, et quand bien même de toute façon, ici y a pas de deuxième chance, on n'efface pas les ardoises. Me dis pas qu't'es pas au courant, t'as pas vu ? C'est imprimé partout, dans les journaux, sur les écrans, dans le regard des gens. C'est même écrit en grand sur les immeubles, la nuit, quand les gens bien comme toi sont endormis.
New York. La ville, le monde, le bruit, les embouteillages. C'est de là que tu viens. C'est là-bas que tu iras.
Tu devrais pas fumer, tu le sais très bien. T'es asthmatique. A chaque fois que tu fouilles dans la poche de ton blouson pour en sortir ton paquet, tu te plantes un couteau en pleine poitrine. C'est te tuer à petit feu que de te laisser faire ce genre de chose. Mais personne te dit rien. Personne te dit rien parce qu'ils savent tous que quand tu fumes, c'est que tu vas bien. Ça te permet de te sentir vivante. Comme l'alcool, la drogue, et toutes ces choses nocives qu'on vous interdit de prendre.
- Tu ne le seras pas, Ber, je la laisserais pas t’emmener en France. Tu quitteras pas New York aussi tôt. On trouveras un moyen, je te le promet. En partageant ma chambre, avec une étagère, un rideau, une connerie du genre, n'importe quoi. Ma mère accepteras, tu le sais aussi bien que moi. Alors déchire ce billet d'avion et rentre avec moi. Je t'en supplie..
- Will...
- Tu peux pas m'abandonner.. Tu peux pas t'enfuir sans même m dire au revoir. Je sais que tu n'aimes pas les adieux, mais je veux pas que tu partes, surtout si je sais que tu seras malheureuse à Paris, sans moi, sans personne à qui te raccrocher. Et ton pouvoir, t'y as pensé ? A qui t'en parleras ? A ta mère ? Tu pourras rien faire. Tu seras constamment en danger Bérengère.
- Arrête Will, je veux pas avoir à te dire au revoir. C'est pire que tout. Ça voudrait dire qu'on se reverra pas, et ça, je ne le supporterais pas.. Je suis chez Andrew. Il suffit que je prenne ma voiture et dans une demi-heure je suis à l'aéroport.
- Tu as bu ?
- Un verre ou deux, pas plus. Je suis en état de prendre le volant.
- Je déconne pas William.
- Ouais, je sais, je sais, t'inquiète pas pour moi. Je pars sur le champs. Prépare tes affaires et..
- Non. Je peux pas faire ça à ma mère.
- Parce que tu crois vraiment que ça lui briserait le cœur si tu restais à New York avec nous ? Elle s'en fou Ber, elle en a rien à foutre de ta gueule. Tu pourrais crever, la seule raison pour laquelle elle pleurerait, c'est pour ne pas avoir empocher les sous qu'elle se serait gagner grâce à ta future carrière. C'est comme ça que tu vois les choses ? Paris ?
- Je.. Je suis désolée Will. Mais sans elle, je ne suis plus rien. Je vais te laisse, je t'appellerai une fois descendue de l'avion.
- Non, raccroche pas putain ! Attend.. Donne moi juste cinq seconde. Donne moi juste le temps de remettre mes idées en place.
- T'es complètement bourré William.
- Non.. Je voulais pas avoir à te le dire en face, ni ce soir, parce que j'avais trop peur de t'entendre pleurer à l'autre bout du téléphone. Mais bordel, Apolline, je me suis jamais sentit aussi vivant que maintenant. Ma poitrine me hurle de venir te cherche. Si tu te casses, c'est ma vie que tu ruines.
Dernière édition par Admin le Mar 24 Fév - 20:31, édité 8 fois
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Sujet: Re: Remake présentation Mer 21 Jan - 18:25
T'es qu'une pourriture de la pire espèce. Tout le monde te déteste. Et les gens trouvent ça cool, parce que t'en a rien à foutre de ce qu'on peu penser de toi. Tu fumes, tu bois. T'enchaînes les conneries comme tu respires. A ce rythme là tu ne survivras pas plus de quelques années sur notre foutue terre. Tu le dis toi-même : t'es éphémère. C'est qu'une question de temps. Mais en attendant patiemment ton heure, tu profites de la vie à fond. T'essaies de t'adapter au monde qui t'entoure, en évitant de tout détruire. Tu te fais des amis, tous aussi loufoques les uns que les autres. Des grands, des gros, des petits, des cons, des intellos. Et puis tu te fais aussi des ennemis, parce que tu refuses qu'on te marche dessus. Parce que t'es comme ça, une brute dans l'âme quand ça te prend. Et qu'ils te sortent par tous les trous, ces enfoirés. Parce que tu supportes pas qu'on te prennes de haut, parce que tu fais partit des E, de ceux qu'on regarde de travers. C'est pour ça que t'as un regard de connasse, et un air à vouloir boxer tout le monde accrocher au visage. Pourtant, ton truc à toi, c'est le basket. Et on te reproche bien trop souvent d'être un véritable mec. Rien que dans ta façon de penser, d'agir et de parler. T'es complètement différente des autres filles. Elles ont essayé pourtant, de te changer. Mais quand t'as vu la robe à fleurs et les talons aiguilles, tu t'es cassé en courant. C'était pas toi, c'était pas ton style. Du coup, t'es allé taper comme une bourrine chez tes potes, et t'as direct chopé une bière en leur raconter ta putain d'expérience. Ils se sont foutu de ta gueule, parce qu'ils savent que t'es incapable d'être féminine, ou que même en l'étant, ça collerai pas avec ton vocabulaire de camionneuse. Et ils avaient entièrement raison. Clope à la main, t'avais aussi rigoler. Mais au fond, tu t'es quand même dit que ces filles, elles étaient bien plus mignonne avec leur décolleté rose pâle et leurs talons aiguilles, que toi, avec ton gros pull, ta mini-jupe et tes doc martens.
Bérengère Apolline Mills, une chieuse parmis tant d'autre. Elle a 17 ans et demi, est en classe E, maîtrise son don nommé "Musculature sur-développée" qu'elle a renommé "Force herculéenne" juste pour le roxx, mais refuse toute gradation supérieure. Bérengère, il n'y a que ses proches qui l'appelle comme ça, avec évidemment son diminutif "Ber", qui est tout aussi classe qu'elle. Pour les autres, elle reste Apolline Mills, la cousine de Gautier Everfield. Gautier, c'est la seule personne pour qui elle tuerait. Il est sa seule famille, la seule personne qui a toujours fait attention à elle. A deux, ils sont comme Tweedledee et Tweedledum, qui sont d'ailleurs leurs surnoms adorés.
A V A N T P R I S M V E R
Bérengère est arrivé au Pensionnat il y a une an et demi. Elle vivait à New York avec sa mère, une ancienne créatrice de mode. Elle n'a jamais eu de très bonne relation avec cette dernière, qui faisait passer l'avenir de sa fille avant toute chose, décidant ainsi de tout ce qu'elle allait entreprendre pour le futur. Son meilleur ami de toujours s'appelait William. Il fut le premier à savoir que Bérengère n'était pas normale, et était présent lorsqu'elle découvrit son pouvoir. Bérengère refusait catégoriquement d'entrer à Prismver, malgré l'insistance de William.
A P R E S P R I S M V E R
Lorsque ce dernier mourut dans un accident de voiture, elle tomba dans une profonde dépression, et quitta New York pour se rendre au pensionnat. Là elle retrouva Gautier, son cousin, qui l'empêcha de toucher le fond. Elle loupa l'examen d'entré, en oubliant de s'y présenter, et se retrouva immédiatement en E. En collocation par-ci, par-là, elle finit par être en collocation avec ce dernier dans la cabane numéro 12. Et c'est ainsi que commença sa vie dans ce Poudlard ridicule, piégée dans un roman fantastique, entourée de créatures aussi bizarres qu'elle.
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Sujet: Re: Remake présentation Lun 26 Jan - 20:46
UNBREAKABLE
Barre toi ! Casse toi, j't'ai dit, qu'est-ce qu'il t'faut d'plus ? T'en as pas vu assez ? Et arrête de m'regarder comme ça, t'as rien écouté, t'as rien compris, comment j'dois te l'dire pour qu'ça imprime ? Écoute pov' conne, j'suis pas quelqu'un d'bien, j'suis pas une belle personne, j'suis une sale bête, une bouteille de gaz dans une cheminée, et j'vais finir par t'sauter au visage si tu t'approches trop, comme ça t'es avec les autres !
Tes yeux se baladent de gauche à droite pour dévisager chaque personne présente à l'ouverture des portes. Tu jettes un regard inquiet à Gautier, qui te souris, et lève son pouce en ta direction. Lui, porte déjà l'uniforme. A croire que ton cousin savait que vous n'étiez pas normaux, depuis le début. Lui, n'a pas hésité une seule seconde. Toi, t'as mis deux mois avant de te décider. Tu arques un sourcil en guise de réponse, loin de te réjouir face à cette situation. Et il rit en voyant la tête déconfite que tu tires. C'est tout juste s'il ne te pointe pas du doigt. Quel con. Il trouve rien de mieux que de se foutre de ta gueule, alors que cette rentrée te répugne. T'angoisse. Ouais. C'est exactement ce que tu ressens. En vérité, ça te rend dingue d'avoir à changer de vie. Enfin, c'est surtout la rapidité de ce changement qui te fais tourner la tête. Si t'avais eu la possibilité de choisir, tu ne serais pas venue sur cette foutue île, pour te retrouvée paumée au beau milieu d'un groupe d'immigrés. Car ouais, ils parlaient tous une langue différente, et ça t'énerve. "Arrête de sourire connard, je pige pas un mot de ce que tu me dis". Le pauvre, te souhaitait seulement la bienvenue.
Mais tu sais pas d' quoi tu parles, j'ai essayé, ça sert à rien, on change pas, on change jamais, et quand bien même de toute façon, ici y a pas de deuxième chance, on n'efface pas les ardoises. Me dis pas qu't'es pas au courant, t'as pas vu ? C'est imprimé partout, dans les journaux, sur les écrans, dans le regard des gens. C'est même écrit en grand sur les immeubles, la nuit, quand les gens bien comme toi sont endormis.
New York. La ville, le monde, le bruit, les embouteillages. C'est de là que tu viens. C'est là-bas que tu iras.
Tu devrais pas fumer, tu le sais très bien. T'es asthmatique. A chaque fois que tu fouilles dans la poche de ton blouson pour en sortir ton paquet, tu te plantes un couteau en pleine poitrine. C'est te tuer à petit feu que de te laisser faire ce genre de chose. Mais personne te dit rien. Personne te dit rien parce qu'ils savent tous que quand tu fumes, c'est que tu vas bien. Ça te permet de te sentir vivante. Comme l'alcool, la drogue, et toutes ces choses nocives qu'on t'interdit de prendre.
Admettons qu'elle ne soit pas un monstre. C'est tout à fait possible, non ? Je veux dire : prenez une enfant, une enfant tout à faire normale, en plein épanouissement. Maintenant, prenez deux parents excessivement trop occupés par leur boulot pour prêter attention à la petite boule d'énergie qu'il avaient malheureusement conçut, par pure erreur d’inattention, puisque ça semble évident. Un père travaillant dans une grande entreprise de manufacture, qui profite du peu de temps libre de sa journée pour aller voir sa maîtresse. Et une mère très jeune, commençant tout juste sa carrière dans le mannequina, ravagée par les séquelles qu'a causé sa grossesse. Qu'obtenez-vous ? Une petite fille instable, qui s'accroche au peu de famille qu'elle possède pour échapper à l'enfer de son quotidien. Vous imaginez, vous, l'état mental d'un enfant délaissé ? Dès le début, personne ne voulait d'elle. Et encore aujourd'hui, personne ne veut d'elle. La faute à qui, me direz-vous ? A personne, malheureusement. On ne peut en vouloir à ses parents de n'avoir pas su l'aimer. On ne peut leur en vouloir d'avoir divorcer, par fierté commune, en ses battant pour ne pas avoir la garde de leur fille. Un fardeau, un poids. Était-ce tout ce qu'elle valait ?
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Sujet: Re: Remake présentation Sam 7 Fév - 13:27
BERENGERE APOLLINE MILLS « Cause you're so.. different. »
« ... i'm gonna give you my heart »
Des yeux pourpres, qui vous fixent de haut en bas, alors que vous passez pour la première fois le portail du pensionnat. Un rire brusque, un rire pure, bien trop agressif pour vos oreilles qui ne sont pas encore habituées à tant de bruit. Une poignée de main accrocheuse, qui manque de réduire les phalanges de vos doigts en poussière. Puis ce sourire, large, qui dévoile de fines canines.
« I don't care ... ... go on and tear me apart. »
NKOLAÏ
« i've been fighting a same old war, against a disease without a cure »
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Phasellus suscipit libero eget turpis porta, vel condimentum tellus lacinia. Sed tempus malesuada lorem. Ut vehicula ante a metus dignissim tempor. Vivamus volutpat eros vel fermentum vulputate. Aenean a iaculis lorem. Duis quam justo, fringilla in tortor eget, volutpat tincidunt neque. Ut imperdiet consectetur tortor, in porttitor elit varius nec.
« my power isn't me ... but I'm my power. »
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« I don't care ... ... if you do. »
WILLIAM
« keep calm because i'm the princess, okay ? »
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Phasellus suscipit libero eget turpis porta, vel condimentum tellus lacinia. Sed tempus malesuada lorem. Ut vehicula ante a metus dignissim tempor. Vivamus volutpat eros vel fermentum vulputate. Aenean a iaculis lorem. Duis quam justo, fringilla in tortor eget, volutpat tincidunt neque. Ut imperdiet consectetur tortor, in porttitor elit varius nec.
Tu laissais tomber ton manteau sur le sol, bouche béante. Tes yeux, rivés sur le corps inerte de ton meilleur ami, refusaient d’émettre le moindre mouvement.
Admin Admin
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Sujet: Re: Remake présentation Dim 8 Mar - 19:47
Nightmare
Dis, Nevada. Tu crois qu'un jour on parviendra à être heureux sans eux ?
Je me noie Nevada, je me noie. Je vais à l'encontre de tout. J'ai l'impression de mon monde s'écroule. Que rien ne va plus, alors que j'avais tant espérer ce nouveau départ. Un père Nevada, j'ai un père. Ce type immonde qui n'a jamais donné aucun signe de vie. Ce fumier de première catégorie qui ne m'a jamais accordée une seconde d'attention. Il m'a appelé Nevada. Et je trouvais rien de mieux à faire que garder le silence. Je l'ai écouté pendant une heure me raconter en détails sa putain de vie dégueulasse, j'ai même appris le nom de sa maîtresse. Et tu veux savoir la triste vérité ? Il s'agissait de sa femme. Une double vie, Nevada, une connerie de double vie. Deux maisons. Deux femmes. Deux enfants. Ça me donne la gerbe rien que d'y penser. Ça sonne mal. Ça sonne creux. A moins que l'écho de mon cœur résonne à un tel point que mes oreilles en sifflent, lorsque j'y pense. Et puis, je l'ai rencontré. Il était là. Depuis le début. C'était si évident, que même nous, nous ne nous en étions pas rendu compte. C'était dans le regard, dans le sourire, dans le même émerveillement merdique qu'on avait pour la même équipe de basket. Tu vois ce que je veux dire ? On avait tout pour être liés. Mais on n'imaginait pas que ça avait des proportions aussi grandes. Aussi hallucinantes. Et pourtant, quand il m'a regardé, j'ai su. J'ai compris. Le regard aussi pure et limpide, aussi expressif, aussi tiraillé par cette nouvelle dégradante, salissante.
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Sujet: Re: Remake présentation Ven 27 Mar - 14:35
GREY
DAENERYS
ROSENBERG
Grey a 19 ans. Elle est originaire de Stockholm. Elle a un frère jumeaux. Son pouvoir est XX. Grey est perdue. Elle vient d'arriver à Prismver. Elle n'aime personne. Elle ne parle à personne. Elle a peur de vous. Grey est une enfant. Elle aime jouer à trape-trape. Elle aime construire des cabanes. Elle n'aime pas l'alcool. Elle n'aime pas les cigarettes. Grey est une artiste. Elle aime écouter de la musique. Elle aime chanter sur des airs de guitare. Elle aime chanter pour Nevada. Grey aime Nevada. Elle aime ses yeux. Elle aime ses cheveux. Elle aime sa voix. Mais ne lui dira jamais.
P E T I T E P H R A S E I C I Q U I P E T E S A M A M A N L E T O U C A N
HISTOIRE HISTOIRE HISTOIRE
Grey est décalée, perdue, sans repère. Elle interprète toujours mal ce qu'on lui dit, déforme les histoires, et crois vivre dans un monde où règne le danger et la méchanceté. Grey a peur de tout. Elle ne fait confiance qu'à elle-même. Elle se méfie des hommes, et évite les femmes. Grey pense que tout le monde lui veut du mal. lfkjdlskjflkdsjf Caractère Caractère Caractère Caractère Caractère Caractère Caractère Caractère Caractère Caractère Caractère Caractère Caractère Caractère Caractère Caractère Caractère Caractère Caractère Caractère Caractère Caractère Caractère Caractère Caractère Caractère Caractère Caractère Caractère Caractère Caractère Caractère Caractère Caractère Caractère Caractère Caractère Caractère Caractère Caractère Caractère Caractère Caractère Caractère Caractère Caractère Caractère Caractère Caractère Caractère Caractère Caractère Caractère Caractère Caractère Caractère Caractère.
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Sujet: Re: Remake présentation Mar 31 Mar - 9:35
BÉRENGÈRE APOLLINE MILLS
When i said friends, i mean "friends".
T'es qu'une pourriture de la pire espèce. Tout le monde te déteste. Et les gens trouvent ça cool, parce que t'en a rien à foutre de ce qu'on peu penser de toi. Tu fumes, tu bois. T'enchaînes les conneries comme tu respires. A ce rythme là tu ne survivras pas plus de quelques années sur notre foutue terre. Tu le dis toi-même : t'es éphémère. C'est qu'une question de temps. Mais en attendant patiemment ton heure, tu profites de la vie à fond. T'essaies de t'adapter au monde qui t'entoure, en évitant de tout détruire. Tu te fais des amis, tous aussi loufoques les uns que les autres. Des grands, des gros, des petits, des cons, des intellos. Et puis tu te fais aussi des ennemis, parce que tu refuses qu'on te marche dessus. Parce que t'es comme ça, une brute dans l'âme quand ça te prend. Et qu'ils te sortent par tous les trous, ces enfoirés. Parce que tu supportes pas qu'on te prennes de haut, parce que tu fais partit des E, de ceux qu'on regarde de travers. C'est pour ça que t'as un regard de connasse, et un air à vouloir boxer tout le monde accrocher au visage. Pourtant, ton truc à toi, c'est le basket. Et on te reproche bien trop souvent d'être un véritable mec. Rien que dans ta façon de penser, d'agir et de parler. T'es complètement différente des autres filles. Elles ont essayé pourtant, de te changer. Mais quand t'as vu la robe à fleurs et les talons aiguilles, tu t'es cassé en courant. C'était pas toi, c'était pas ton style. Du coup, t'es allé taper comme une bourrine chez tes potes, et t'as direct chopé une bière en leur raconter ta putain d'expérience. Ils se sont foutu de ta gueule, parce qu'ils savent que t'es incapable d'être féminine, ou que même en l'étant, ça collerai pas avec ton vocabulaire de camionneuse. Et ils avaient entièrement raison. Clope à la main, t'avais aussi rigoler. Mais au fond, tu t'es quand même dit que ces filles, elles étaient bien plus mignonne avec leur décolleté rose pâle et leurs talons aiguilles, que toi, avec ton gros pull, ta mini-jupe et tes doc martens.
DESCRIPTION
19 ANS DE CONNERIE AMÉRICAINE MUSCULATURE SUR-DÉVELOPPÉE CELIB PRO-E : BASICALLY, RUN BADGIRL À NE PAS FRÉQUENTER
you can break a broken heart
Dis, Nevada. Tu crois qu'un jour on parviendra à être heureux sans eux ?
Je me noie Nevada, je me noie. Je vais à l'encontre de tout. J'ai l'impression de mon monde s'écroule. Que rien ne va plus, alors que j'avais tant espérer ce nouveau départ.
BE A WOLF. BE A LION. SET GOALS. SMASH THEM. BE STRONGER. BE BETTER. SHOW PEOPLE WHO YOUR ARE. NEVER APOLOGIZE FOR BEING AWESOME. STAY POSITIVE. STAY THE COURSE.
Dernière édition par Admin le Mer 29 Juin - 17:58, édité 3 fois
Admin Admin
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Sujet: Re: Remake présentation Mer 1 Avr - 21:00
BÉRENGÈRE APOLLINE MILLS
When i said friends, i mean "friends".
T'es qu'une pourriture de la pire espèce. Tout le monde te déteste. Et les gens trouvent ça cool, parce que t'en a rien à foutre de ce qu'on peu penser de toi. Tu fumes, tu bois. T'enchaînes les conneries comme tu respires. A ce rythme là tu ne survivras pas plus de quelques années sur notre foutue terre. Tu le dis toi-même : t'es éphémère. C'est qu'une question de temps. Mais en attendant patiemment ton heure, tu profites de la vie à fond. T'essaies de t'adapter au monde qui t'entoure, en évitant de tout détruire. Tu te fais des amis, tous aussi loufoques les uns que les autres. Des grands, des gros, des petits, des cons, des intellos. Et puis tu te fais aussi des ennemis, parce que tu refuses qu'on te marche dessus. Parce que t'es comme ça, une brute dans l'âme quand ça te prend. Et qu'ils te sortent par tous les trous, ces enfoirés. Parce que tu supportes pas qu'on te prennes de haut, parce que tu fais partit des E, de ceux qu'on regarde de travers. C'est pour ça que t'as un regard de connasse, et un air à vouloir boxer tout le monde accrocher au visage. Pourtant, ton truc à toi, c'est le basket. Et on te reproche bien trop souvent d'être un véritable mec. Rien que dans ta façon de penser, d'agir et de parler. T'es complètement différente des autres filles. Elles ont essayé pourtant, de te changer. Mais quand t'as vu la robe à fleurs et les talons aiguilles, tu t'es cassé en courant. C'était pas toi, c'était pas ton style. Du coup, t'es allé taper comme une bourrine chez tes potes, et t'as direct chopé une bière en leur raconter ta putain d'expérience. Ils se sont foutu de ta gueule, parce qu'ils savent que t'es incapable d'être féminine, ou que même en l'étant, ça collerai pas avec ton vocabulaire de camionneuse. Et ils avaient entièrement raison. Clope à la main, t'avais aussi rigoler. Mais au fond, tu t'es quand même dit que ces filles, elles étaient bien plus mignonne avec leur décolleté rose pâle et leurs talons aiguilles, que toi, avec ton gros pull, ta mini-jupe et tes doc martens.
18 ANS DE CONNERIE AMÉRICAINE MUSCULATURE SUR-DÉVELOPPÉE EN (CE QUI SEMBLE ÊTRE UN) COUPLE PRO-E : BASICALLY, RUN BADGIRL À NE PAS FRÉQUENTER
BE A WOLF. BE A LION. SET GOALS. SMASH THEM. BE STRONGER. BE BETTER. SHOW PEOPLE WHO YOUR ARE. NEVER APOLOGIZE FOR BEING AWESOME. STAY POSITIVE. STAY THE COURSE.
Bérengère est née à New York. Tout le monde l'appelle sous son second prénom, Apolline. Elle a 18 ans. Elle est d'origine franco-anglaise, et parle donc couramment les deux langues. Sa mère, avec qui elle entretient des relations très difficiles, habite Paris, et dirige une agence de mannequinat. Son cousin, qu'elle considère comme son frère, a le même âge qu'elle, et se prénomme Gautier. Bérengère est arrivée au pensionnat il y a 3 ans, après la mort de son meilleur ami, William. Elle ne parle jamais de son accident, sauf à quelques exceptions.
Apolline, puisque c'est ainsi que nous la connaissons, n'est pas une fille discrète. A vrai dire, elle ne l'a jamais été. Le jour de sa rentrée des classes, elle s'est malencontreusement appuyé sur le mur des couloirs pour remettre en place sa chaussure, et a brisé ce dernier; pas de chance, c'était une classe de A qui se trouvait derrière. Elle a donc immédiatement été placée en E, n'ayant pas passé les examens d'entrée.
Sa réputation est médiocre. Certains disent du bien d'elle, d'autre la haïsse. Pour quelle raison ? Apolline, c'est un peu notre apocalypse à nous. Elle est bourrée de talent, mais ne l'exploite pas. Elle se contente seulement de savoir maîtriser son pouvoir, musculature sur-développée; ce que la plupart trouvent étrange, du fait de sa fine taille. Elle a donc, en vérité, une force herculéenne. Ce qui effraie les pensionnaires. Pour ce qui est de la bonne entente : Apolline est une fille très impulsive. Elle ne réfléchit jamais, et considère que pour profiter de la vie, il faut toujours se fier à ses premières impressions, et savoir écouter ses envie. Avec elle, il n'y a aucune pitié : soit ça passe, soit ça casse. Et croyez-moi sur parole, mieux vaut ne pas se frotter à elle. Le dernier à l'avoir insulté, s'est retrouvé avec deux dents en moins, l'épaule déboîtée, et une double fracture du tibia.
You inspire my inner serial killer.
J'ai frappé. J'ai frappé autant de fois que je pouvais dans ce putain de mur en béton. Et tu veux savoir ce que j'ai ressentit ? Absolument rien. J'ai rien ressentit Nevada. Alors sur le moment, j'ai pris une grande inspiration, et je suis rentrée dedans, pour tenter de le briser. Mais rien n'y faisait, ce mur restait indestructible. Et c'est ce que je me suis dit Nevada. Sur le moment, quand il me frappait, il ne devait rien ressentir. Il ne devait ni avoir pitié de moi, ni regretter ses coups. Et tu sais pourquoi ? Parce que je ne laissais rien transparaître. J'encaissais silencieusement. Je restais de marbre face à l'être immonde qu'il était. Je me relevais, et je le regardais, attendant les prochain coups. Réclamant les prochains coups. Parce que j'étais incapable de lui faire aussi mal qu'il le faisait. Parce que j'étais incapable de lui faire regretter ce qu'il m'infligeait. Parce que j'étais indestructible. Même en me donnant tous les coups qu'ils voulait, il ne parviendrait pas à me détruire. Lui même en était convaincu.. C'est triste à dire Nevada, tu ne trouves pas ?
- Est à Prismver depuis bientôt trois ans. - A perdu son meilleur ami William dans un accident de voiture il y a trois ans et demi. - Est tombé en dépression. - A rejoint Gautier, son cousin, à Prismver. - A rencontré Maxxie à son arrivée. - A rencontré Nikolaï il y a un peu plus de six mois.
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Tu laissais tomber ton manteau sur le sol, bouche béante. Tes yeux, rivés sur le corps inerte de ton meilleur ami, refusaient d’émettre le moindre mouvement.
